Résumé
d'Arzacq 2010
Texte : Flash
TT
Photos : Gaylord et Fane dont
les photos sont visibles ici
La famille Sansot
: ici Bernard sur sa magnifique 205 look turbo 16
Le 1er rendez-vous de la saison 2010 des
rallyes tout terrain se déroule comme de coutume sur les collines
d’Arzacq en début de mois de mars.
Bien que l’hiver n’en finit pas de durer, ce sont 78 équipages
qui se présentent aux vérifications le vendredi soir,
prêts à affronter le froid, 2 jours de course bien remplis
avec 2 spéciales redoutées ; Le Château samedi et les
Roques Dimanche.
Le terrain est sec, une première depuis bien longtemps. Pas de boue,
par conséquent nous pourons admirer les nouvelles robes de certaines
autos, la 207 de Bossart,
le fouquet de Costes aux magnifiques couleurs venant de l’autocross,
la 205 aux couleurs de la grande époque des turbo 16 de Bernard Sansot,
Baylet, Vitini, Molères, etc…
Peu de changement de monture du en partie à un marché de l’occasion
en hibernation, les temps sont durs messieurs les vendeurs (des prix jugés
trop hauts ?),
seul Daniel Favy s’est offert le fouquet champion de France 2009.
La nouvelle auto
de Pierrine : ça déménage !
Parlons des nouveautés ! Prolifique, le tout terrain l’est
d’année en année, le plateau 2010 s’étoffe
de 4 nouvelles autos :
Jeep Cherokee pour le local Benoît Soulas en catégorie T1B,
1 rivet 2 roues motrices pour l’ancien roi de la discipline, Nicolas
Larroquet.
Son buggy très bien présenté est identique à
celui de la famille Goni avec pour principale différence son moteur
: clio rs3 petite préparation de chez Foucart.
Fouquet, la marque la plus prolifique depuis ces dernières saisons
n’est pas en reste avec 2 nouvelles autos,
1 pour le team Cassagne aux couleurs identiques mais avec un Nissan 3 litres
de 360 chevaux made in Jacob, moteur surprenant acheté hors d’Europe
et un 2 roues motrices pour le bordelais Mathieu Darsouze sur vitaminé
grâce à un moteur Renault préparation Olyméca
en provenance de l'autocross.
nouveau rivet
pour les frères Larroquet
Samedi matin, le stress monte …malgré
quelques absences de marque chez les ténors du championnat
(Fouquet, Garicoix, Housset, Knoll, Rivet, Morisse, Couillet, Castan,..),
en 2 roues motrices, tout le gratin est bel et bien là.
Jamais un rallye n’aura connu autant de très bons pilotes en
2 roues motrices engagés, toutes les marques étant présentes,
hélas il n’y aura qu’un seul vainqueur.
Si l’on pense légitimement au champion de France sortant Vincent
Poincelet, les pronostics ça et là montrent que les avis sont
partagés tant cette classe 2 roues est homogène.
En véhicules de série, 10 autos au départ, 2 forfaits
de dernière minute Daigneau et Lacassagne pour oubli de validation
de licence 2010 à jour.
Quand à Cournil Christophe, homme fort pour cette saison, il devra
chercher un copilote dans la soirée,
le sien (absence de licence également, les cantalous, pas bien réveillés
en cette fin d’hiver).
Changement de
couleurs pour Omnes, continuité dans l'attaque
Place à la course !
2 spéciales pour établir
une hiérarchie dans les 3 catégories.
ES1 : Toupis, courte mise en jambes sur une spéciale
peu roulante que les organisateurs avaient jugé bon pour un début
de saison.
Premier scratch de l’année, Patrick Orhatégaray choisit
d’entrée d’imposer son rythme.
Daniel Favy, 3ème, aura le malheureux privilège d’être
le premier abandon de la saison : perte d’une roue en liaison : colère,
colère !!!
ES2 : Le Château, spéciale au combien piégeuse
avec ses montées et descentes en sous bois.
8 minutes de lutte où le terrain prend souvent le dessus sur le pilote.
Qu’à cela ne tienne, un second prétendant à la
victoire pointe son nez : Alain Pierrine.
Dans la même seconde qu'Alain, première surprise de la saison
: Lionel Henriques sur son rivet 206 ; ce qui lui permettra de partir en
troisième position lors du reclassement.
Surdoué ce jeune, mais comment gérera t’il la pression
en roulant derrière Orhatégaray et Pierrine ?
Orhatégaray
en forme sur le week-end
En 2 roues motrices, la somptueuse bagarre
est lancée. Mais en 2 spéciales, plusieurs pilotes ont perdu
gros,
le vice champion de France, Hervé Gaillacq parti en tête à
queue inexpliqué dans un goulet (40 secondes envolées le reléguant
à la 8ème place de classe),
imité au même endroit 1 minute plus tard par Renoulleau qui
s’en sorti avec moins de temps perdu.
Damien Pocheluberry, annoncé comme un outsider, roule sur un faux
rythme ;
la cause : une nouvelle commande séquentielle qui saute régulièrement
aux changements de vitesses. Il sait déjà que le week-end
sera difficile.
Mais il y a pire , véritable hécatombe sur le premier passage
du "château" , 7 pilotes 2 roues disparaissent : Zielinski,
Sansot et Deléans parmi les outsiders et
le malheureux débutant Mathieu Malaussane qui verra sous ses yeux
s’embraser le buggy qu’il venait de s’offrir 2 mois plus
tôt. Courage Mathieu ..
Après la pause de midi où
les spectateurs ont pu profité des différents points «
repas » des associations à moindre coût,
ce sont les 4x4 qui partis les premiers donneront le LA de ce que sera la
journée. A fond, ça passe ou ça casse !!
Estève en tête depuis le début du rallye devra s’incliner
contre la fougue de Benoît Soulas sur sa nouvelle jeep : 3 scratches
à la suite,
seuls Christophe Cournil et Xavier Chaux parviennent à ne pas se
laisser trop distancés en début d’après-midi.
La dernière spéciale de la journée sera l’œuvre
d’Estève avec un temps canon de plus de 15 secondes sur la
jeep rouge.
A l’entrée du parc du samedi soir, le pilote local Soulas devant
les siens rentre en tête, suivi à 20 secondes d’Estève,
35 Cournil,
50 secondes Viaud, étrangement assagi mais le terrain ne pardonne
pas certains excès, le championnat est long….
Pour preuve deux disparitions sur sorties de route pour Gasca à fond
sur son Patrol orange et Vigouroux (intervention ambulance).
Viaud: petite
figure à l'épingle de Montagut
Si les 4x4 ont donné le tempo, les
buggys 4 roues ont offert de splendides passages notamment sur le goudron
de la spéciale Montagut ,
un des meilleurs freins à main revenant à Arnaud Etchecopar
qui utilise de mieux en mieux son fouquet ex-Garat.
Mais aux avant-postes personne ne peut perturber la marche en avant de notre
duo, Henriques alors 3ème après 3 spéciale ira visiter
un contre bas dans Château2, exit la rivet 206.
Aux portes du podium, Sébastien Urrutia confirme son excellent coup
de volant et occupe avec une bonne avance la troisième place, mais
quand est-il de la fiabilité tant fragile de 2009 ?
Nous assistons à une domination basque en ce début de rallye,
complétée par Jean-Paul Hirigoyen ,première victoire
en spéciale dans Montagut 1.
Le sympathique pilote d’Hasparen exploite à la perfection son
fouquet tout en le ménageant, budget oblige.
Seul pilote hors « 64 » à garder pied droit au plancher
: Cyril Omnes.
Christophe Costes, peu régulier, Patrick Poincelet étrangement
en retrait par rapport à sa fin de saison 2009, sont à l'arrière,
vite devancés par 2 autres basques Didier Iribaren et Denis Artola
sur son proto motorisé par un turbo16,
véritable prouesse pour dompter les 400 chevaux malgré un
châssis qui louvoie en ligne droite.
La dernière spéciale de la journée laissera sur la
faim les spectateurs massés sur les collines, si Orathégaray
devance une nouvelle fois Pierrine,
derrière tous les ténors passeront en convoi. Double arrêt,
l’un pour Urrutia qui perdra dans l’affaire plus de 7 minutes,
bloquant 7 autos parmi lesquelles Christophe Costes qui aura la malchance
de casser une pièce d’une valeur de 3 euros empêchant
le démarrage de son moteur Nissan.
Sacrée spéciale Le Château !, les 3 passages n’auront
fait aucun cadeau aux téméraires (Monchaux, Kelle, Henriques,
Budgen, Urrutia, Lacroix, etc..tous en faute).
Au classement général, Orhatégaray entre en tête,
45 secondes devant Pierrine, Hirigoyen sur la troisième marche talonné
par Iribaren.
5ème, le courageux Cyril Omnes sur son phil’s car. Aucune faute,
mais l’équipe est inquiète pour le moteur Honda nouvellement
préparé qui s’étouffe à haut régime.
Montagut 2 , tonneau du rapide Manescau 15ème sur sa belle C4 rouge
avec un nouveau son bien mieux mélodieux que par le passé,
pilote à revoir tellement son coup de volant vaut le détour.
Jean-Paul Hirigoyen
marche de plus en plus fort , 1er podium , 2 temps scratchs sur le week-end
Et la classe biberon, celle des jeunes
en 2 roues motrices ? Un seul mot pour résumer ce début de
course : tonitruant !
Un superlatif non exagéré ressenti par les passionnés
au passage des Goni, Poincelet, Renoulleau, Larroquet, Hélin, De
la Noe, Bidart
et Inçagaray, sans aucun doute le plus chaud du week-end.
Certains pilotes de buggys 4 roues (parfois même de "gros"
buggys) doivent vraiment se poser des questions en étant régulièrement
devancés par ces jeunes talents
aux autos moins performantes sur le papier. Le terrain sec et technique
y est sans doute pour quelque chose..
Renoulleau, 4 ème dans Es1, Vincent Poincelet 3 fois dans le top
10, Goni, 1 fois alors que « les gros du championnat» sont toujours
en course.
Mais alors qui devant ? Ne cherchez pas le favori pour 2010, la journée
du samedi laisse pantois ses adversaires,
Vincent Poincelet sur un terrain ne favorisant pas son auto a éclaboussé
de sa supériorité. Ce pilote a encore gravi une marche.
Son but devient de plus en plus à chaque rallye de faire des performances
au milieu des tops buggys 4 roues, au détriment des calculs de points
de sa classe.
Pourtant derrière, un vent nouveau apporté par les nouveaux
rivets de Goni et Larroquet pousse.
Le constructeur charentais peut être heureux de ce nouveau châssis
exclusif 2 roues.
Renoulleau, maxi
attaque sur les 2 jours pour rattraper son erreur du samedi
Samedi soir, Vincent Poincelet entre en chef de file, 40 secondes ! devant
un trio Goni, Larroquet sur ses gardes,
la faute à des suspensions trop dures faisant décrocher son
auto et Renoulleau surprenant par rapport à l’édition
précédente.
30 secondes plus loin,, le splendide Tomahawk jaune d’Hélin
intercalé devant un deuxième trio regroupé en 6 secondes,
Bidart tout sourire, Gaillacq (pas à l'aise avec des amortisseurs
durcis à l'inter saison) et Pocheluberry quant à eux :
plus « soupe à la grimace » mais la bière de l'amitié
le soir entre pilotes leur redonnera l'instinct de se battre à nouveau.
Abandon du jeune De la Noe dans le Château2 sur son proto maison,
alors qu'il occupait la 5 ème place devant Hélin, c'est tout
dire !
Bidart : avouant
ne pouvoir plus rien faire contre les nouveaux buggys 2 litres, a sorti
la grosse attaque
La maitrise "d’Orhaté" le dimanche
Matinée glaciale ensoleillée
avant arrivée de nuages l’après-midi chargés
de flocons, la neige étant annoncée pour la nuit.
Il en faut plus pour le grand Patrick qui débute le dimanche par
2 meilleurs temps reléguant Pierrine de 10 secondes supplémentaires.
A la régulière, la victoire ne pourra lui échapper.
Alain se venge dans la 3, mais le pilote qui a le plus faim n’est
autre que Didier Iribaren prenant la troisième place.
Artola a disparu dans les Roques, sortie de route en fin de spéciale
alors qu’il s’était extirpé d’un fossé
quelques minutes plus tôt.
Sur cette spéciale ultra technique, hantise des copilotes incapables
de dicter leur notes correctement, étant secoués comme des
pruniers,
Goni et V Poincelet s’affirment avec des incroyables 4ème et
5ème temps. Ah, ces 2 roues, on en reparlera dans les rallyes à
venir.
Abandon sur tonneau pour Gilbert Turon-Barrere, son auto aurait pu repartir
mais sans pare brise, rouler par ce froid, c'était l'angine assurée.
A l'endroit du
tonneau de Turon, Estève s'est éclaté en l'air
2ème passage dans les Roques, si aucun changement n’affecte
les 2 premiers, Iribaren abandonne à l’assistance, impossibilité
de passer la 6ème vitesse.
A 3 semaines du labourd, tenter de tout casser n’est pas l’apanage
de la famille Iribaren.
Bonne précaution, mais dommage, car le problème était
bénin et aurait pu être réparé en assistance,
il devrait être présent au Labourd.
Arzacq l’après-midi : l’occasion d’assister aux
spéciales traditionnelles : Nouzeilles et Cruzas.
La fin du rallye, c’est la dernière opportunité de devancer
le concurrent de devant ; sur ces 2 tracés trés connus et
moins piègeux :
Omnes réalise son premier meilleur temps, le premier avec cette auto
dans Cruzas1,
il tente le tout pour le tout pour se rapprocher d’Hirigoyen lequel
se mettra à l’abri grâce au second scratch de sa carrière
dans Nouzeilles.
Chopin roule plus fort par rapport au samedi, cet état de fait rappelle
le dernier Dunes (seconde journée souvent bien meilleure que la première)
mais Patrick Poincelet, juste devant au clazssement, en fait de même,
de 39 secondes de retard Es 9, 17 s ES10, 11s Es11 à 6s Es12,
il échoue à 5 secondes du rivet orange et rentre au parc d’arrivée
à la 6ème place, beau sprint final pour la 307.
Costil en appui
sur son ancien fouquet a bien roulé dans le week-end
Pierre-Paul Dronde peut être fier, il termine 7ème sur son
proto maison, 1er de classe 4roues motrices, 2 litres devant Goni, la perf
du rallye !
Christophe Herbert 9ème, on pouvait penser mieux mais Arzcaq ne lui
a jamais souri et Libinski 10ème sur sa nouvelle acquisition, rivet
ex Petit.
1er vainqueur de la saison : Patrick Orhatégaray avoua la ligne d'arrivée
franchie un grand soulagement :
en effet depuis le dimanche, une surchauffe permanente de son moteur lui
a donné des sueurs froides, incapable à l'assistance de tomber
sur la cause.
Quant à Pierrine second, des passages chauds, chauds surtout le dimanche
(cruzas1, Roques2) prouvent que ce nouveau buggy
nécessite une adaptation au changement de puissance (100 chevaux
de plus).
Artola en visite
sur les bas-côtés dans les Roques s'en sortira ici pour retomber
dans un autre en fin de spéciale
En 2 roues motrices, une partie de l’épisode
a manqué. Où est donc passé Vincent Poincelet , pourtant
8ème le samedi soir ?
La cause fût-elle bénigne, capteur de tour moteur out, à
l'assistance le dimanche en fin de matinée, impossibilité
de démarrer le Honda.
C’est désespéré qu’il vit un à un
ses adversaires de classe partir un à un vers la spéciale
suivante.
A cet instant, 3 pilotes sentant la victoire possible se déchaînèrent
: Goni, Renoulleau et surtout Hélin en fin de rallye avec des temps
époustouflants sur son frelon jaune.
Le rallye nous offrira un magnifique vainqueur Grégory Goni, 37 secondes
d’avance sur Renoulleau,
40 sur Larroquet sur sa nouvelle auto pas encore au point, et 48 secondes
sur Hélin.
Suivent Pocheluberry, sourire retrouvé car rallye terminé
à une place inespérée, Bidart, Gallareguy, pilote sage
roulant pour son seul plaisir
et Inçagaray, inconstant à cause de multiples visites en dehors
des pistes, mais quelle attaque !!
Gaillacq out, pour double casse cardan à la sortie de l'avant dernière
spéciale, décidemment ! ainsi que le rapide local Xavier Medou,
out également sur la fin.
Grégory
Goni : 1ère victoire de classe amplement méritée après
l'abandon de Vincent
2 vainqueurs du département
64 vainqueur auxquels nous rajouterons Benoît Soulas, 1ère
victoire en rallye depuis ses débuts il y a 2 ans ici même.
Il conjure le mauvais sort puisqu’il avait abandonné en 2008
et 2009. Pourquoi pas une seconde surprise au Labourd avec cette fois-ci
son copilote au volant ?
Pour le championnat, 2 pilotes peuvent être satisfaits de leur course,
Christophe Cournil qui devance sur le fil J-L Estève.
Le grand perdant de cette fin de rallye Viaud qui perdra de nombreuses minutes
le dimanche après-midi, 7ème avant-dernier 4x4 classé
alors qu'il était 3ème..
Belle performance de Chaux à surveiller de plus en plus à
l’avenir.
Découverte d’un nouveau pilote sur Toyota en T2 , Fabien Darracq,
beaux passages avec une auto peu puissante.
Nouveau venu
: le landais Fabien Darracq sur Toyota T2
Seuls 38 équipages sur les 77 partants ont été classés,
véritable hécatombe.
Enormément de sorties de route, avec des autos déjà
abîmées mais c’est la course…
Dans 3 semaines, le Labourd où Garicoix, Housset et Castan José
sont annoncés sur des autos surprenantes.
En 2 roues, tous devraient se retrouver avec le retour de Jérôme
Bos sur son caze armé d’un nouveau moteur.
En 4x4, les 2 absents interessés par le titre, Daigneau et Lacassagne
devraient être présents.
Rallye du Labourd new look, à fort kilométrage qui va attirer
sans aucun doute de nombreux concurrents.
Si le championnat des rallyes terre est squelettique avec 5 manches au programme,
l’autocross malade avec des changements de réglementation critiqués
par les pilotes attirés vers d’autres disciplines,
le tout terrain parait paisible et confiant en l’avenir.
Cette auto sujette
à toujours beaucoup d'interrogations : personne n'y est insensible.
Magnifique rallye d'Hélin
Seul bémol à l’avenir, certains pilotes d’autos
vieillissantes, notamment en 2 roues commencent à se poser la question
de continuer ou pas
vu les budgets des nouvelles acquisitions. Comment ne pas écoeurer
ces passionnés sans grands moyens puisqu'il n'existe pas une catégorie
protégée à faible coût en tout terrain ?
A quant une classe ancienne auto avec une mécanique basique dotée
d’une petite prime ?
Peyrous sur un
ancien châssis petit moteur, quelle place pour eux à l'avenir
sachant qu'ils devront eux aussi odopter les hans?
De l'avis général
cette épreuve arzacquoise a été un régal. Bravo
aux organisateurs qui s'investissent chaque saison pour présenter
un parcours technique et varié.
Contrat rempli pour eux, ils pourront les 27 et 28 Mars se rendre au Labourd
comme spectateurs en toute décontraction.